Une multiplicité d’initiatives publiques et privées voient le jour face au développement de déséquilibres alimentaires impactant négativement la santé des individus, aux effets sur
l’environnement de l’agriculture intensive, aux difficultés de producteurs à vivre de leur activité.
L’approche par l’économie de la fonctionnalité permet d’esquisser les bases d’un nouveau modèle. Quelles seraient les dimensions de la solution intégrée ? Autour de quels enjeux de performance la
penser ? Comment la déployer sur les territoires ? Quelles sont aujourd’hui les initiatives allant en ce sens et les freins au changement ?
La séance a été introduite par Patrice VUIDEL, ATEMIS, puis des étudiants de Paris 7 réalisant un travail sur les formes d’échange au sein des circuits courts alimentaires ont
présenté le résultat de leurs travaux.